6 octobre 2021

Fournisseur de l’agent 007 depuis 40 ans, Bollinger a une nouvelle fois été mis à l’honneur lors de l’avant-première à Londres du 25e opus de la saga James Bond "Mourir peut attendre" ("No Time to Die"). Un rapport privilégié s’installe entre la Maison d’Aÿ-Champagne et les producteurs du film, né d’une célébre poignée de main autour d’un "gentlemen’s agreement".

1956 : première référence faite au champagne Bollinger dans un libre de Ian Fleming. Ce dernier fait également référence à Taittinger et Dom Pérignon dans ses romans ; 1973 : première apparition à l’écran de Bollinger, dans le 8e opus "Vivre ou laisser mourir" avec Roger Moore dans le rôle de l’agent 007. 1979  : après un gentlemen’s agreement (accord informel), Bollinger devient le seul champagne présent dans James Bond, à l’image du 11e opus, "Moonracker".

1836

La figure légendaire de Dom Pérignon doit beaucoup au Mémoire sur les vins de Champagne de l’avocat J. P. Louis, époux de Virginie Perrier. On allait dès lors attribuer au moine de Hautvillers toutes sortes d’innovations : du bouchon de liège à la flûte, du collage des vins au dépotage par siphonnage...