Œuvre du Colonel François Bonal de 1990 (actualisations UMC)
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JOURNAL 1953 - 22 juillet Au cours d’un lunch de mariage Long apparté cocasse de Mme Martin, couturière de la gentry locale, avec la baronne de Gunzburg, ce qu’on fait de plus chic dans notre parenté. Sans connaître leurs identités (…)
LE CRABE AUX PINCES D’OR À bord du cargo où Tintin cherche de la fausse monnaie alors que les bandits sont également sur le bateau. L’avion qui transportait le capitaine Haddock, Tintin et Milou est tombé dans le désert. Le capitaine, torturé (…)
DU RIFIFI CHEZ LES HOMMES Les clilles 1 se farcissaient du champ’ comme s’il en pleuvait. Y avait de tout parmi eux : des truands, des industriels, même une tablée de pedzouilles. Ces derniers n’étaient pas à la bourre pour la valse des (…)
ANTOINE ET JULIE Antoine, alcoolique, se prépare à réveillonner pour Noël avec sa femme, Julie. Il se tracassait un peu de ce qui allait se passer ce soir au restaurant. Il était presqu’indispensable de commander du champagne. Comme il (…)
LA VERRERIE EN FRANCE DE L’ÉPOQUE GALLO-ROMAINE À NOS JOURS L’évolution de la bouteille au XVIIIe siècle. Ces progrès sont dus entièrement à l’adoption, vers 1700, d’un nouveau type de bouteille en verre noir, épais [...] ; les Anglais (…)
LES MANDARINS (Prix Goncourt 1954) Henri a invité dans un cabaret Nadine, une `jeune fille qu’il regarde comme une sorte de nièce". Quand il revint s’asseoir près d’elle, elle avait rempli les deux coupes de champagne et les contemplait d’un (…)
SINFUL - Jenny chérie, tu me parais excitée, murmura Grace Porter, quinze minute et deux verres et demi de champagne plus tard. [...] - Merci, Grace, tu es formidable, répliqua Jenny, qui ne s’était jamais sentie aussi sûre d’elle-même et (…)
En 1907, en Indochine. LES ASIATES - V LA NUIT INDOCHINOISE La nuit est chaude et grasse. Françoise va vers la fenêtre ouverte. Dans le jardin, l’arbre dont elle a oublié le nom laisse pendre, en ombres chinoises, ses feuilles molles et (…)
L’ÉQUIPAGE Pendant la première guerre mondiale. L’aspirant Herbillon vient de rejoindre son escadrille. Deschamps, qui examinait soigneusement son appareil, passa sur son front un pouce informe et observa - C’est une sortie qui nous coûtera (…)
LE PASSAGE (Prix Théophraste-Renaudot 1954) Malade, d’aspect squelettique, Palabaud, hôtelier en Polynésie, a dû rentrer en France, ramenant une vahiné, Vaïte, qui vient de le quitter. Depuis des mois Palabaud n’avait couché seul et, sans (…)
LES ARISTOCRATES (Grand Prix du Roman de l’Académie française 1955 - Prix des Libraires 1955) Maubrun buvait son champagne à petites gorgées. [...1 Ils passèrent au salon. Madame de Laval entrouvrit son déshabillé. Elle lui tendit ses lèvres. (…)
L’EAU ET LE FEU Les eaux du Kivu 1 ont [...] pu s’enrichir de quantités énormes de gaz [...]. Maintenus en solution par la pression, ces gaz s’échapperaient si cette dernière venait à diminuer, [...] à la façon du contenu d’une bouteille de (…)
LE PLUS DOUX DES PÉCHÉS DU MONDE Un furieux air de 1900 accompagne le champagne, ce fou charmant du jeu d’amour, valses et matchiches. Cancan et cancans, car le champagne rend bavards les moins sensibles. « C’est par son charme que je l’aime, » (…)
PÉRENNITÉ DU CHAMPAGNE Si l’on cherche [...] à définir la position du champagne par rapport à la conjoncture et à peser les éléments de son destin, notre vin prestigieux nous apparaît comme un signe de contradiction. En une époque où prévalent (…)
LES GRANDES MANOEUVRES (Scénario du film, Prix Louis Delluc 1955) Dans une ville de garnison. Les officiers parient avec les civils (dont Rodolphe) qu’avant les grandes manoeuvres, qui ont lieu dans 20 jours, le lieutenant Armand de la Verne’ (…)
LES MOUSTIQUES Frédéric avisa, sur une console, un plateau égaré chargé de coupes de champagne. Il en vida une sous le regard amusé d’une dame et se tourna vers le mur pour en boire une seconde. L’orchestre lui parut alors plus harmonieux. 1955 (…)
Prix Nobel 1920 VICTORIA Johannes est amoureux de Victoria, qui en épouse un autre. Il avait été invité à cette fête pour participer à la joie des fiançailles de Victoria. [...] Le repas se poursuivait. [...1 Le long discours fut accueilli (…)
LES FILS D’AVROM - II LES EAUX MÊLÉES (Prix Goncourt 1955) Au restaurant, il faisait confiance au sommelier. Car, abandonné à luimême, il eût facilement chambré le champagne. 1955 LE TOURNIQUET DES INNOCENTS L’interlocuteur est un (…)
CES BOURGEOIS DE PARIS TROIS SIÈCLES DE CHRONIQUE FAMILIALE DE 1675 À NOS JOURS Compromis dans 1’Affaire des diamants de la reine, le cardinal de Rohan est conduit à la Bastille. L’opinion fut pour lui. On porta des chapeaux « cardinal (…)
Musique d’Alain Gorague JAVA JAVANAISE Ravajavahs Allons boir’un’rouille de champ’à l’aise Un coup de Vichy-fraise, Loin d’la plac’de l’Opéra 1956 Textes et chansons
Prix Nobel 1913 LA CHUTE Je ne savais pas que la liberté n’est pas une récompense, ni une décoration qu’on fête dans le champagne. Ni d’ailleurs un cadeau, une boîte de chatteries propre à vous donner des plaisirs de babines. Oh ! non, c’est (…)
MADAME VEUVE CLICQUOT-PONSARDIN SA VIE - SON TEMPS Madame Clicquot [...] était extrêmement "comme il faut". Pourtant, son nom est fameux dans le monde entier. En toute équité, il nous faut admettre que les vins dorés issus de ses caves (…)
Correspondance A Roger Nimier Mauriac est tout à fait ivre, depuis le champagne qu’il a bu en Suède 1. Au même Samedi 10 mars 1956 Nous étions passé au bar du Weber rue Royale. Je venais là, il y a trente ans boire un 333 ; c’est le (…)
PASSEPORT POUR LA NUIT ou LE ROI-SOMMEIL Il est des jours où je voudrais ... ... être milliardaire. Ah ! Si j’étais milliardaire... [...] Dans un podium aux niches multiples, conçu pour de vastes orgies, des robinets de cristal et (…)
LA VIE D’ARTISTE Pendant la dernière guerre, dans un restaurant français de Londres. Un soir, je dînais au "Coq d’or" avec le patron et Jean Marin, quand quatre jeunes femmes qui dînaient à une table en face de la nôtre dirent quelques mots à (…)
JUSTINE A Alexandrie, lors du départ pour la chasse au canard sur le lac Mareotis. Quand tout est prêt les voitures s’ébranlent dans un grondement de moteurs. A ce signal une volée de domestiques surgissent de la grande maison avec des coupes (…)
Mercredi 10 octobre 1923 JOURNAL LITTÉRAIRE II est impossible de vivre aujourd’hui avec mes 500 francs (410 euros 2004) d’appointement au Mercure. Non seulement ma vie matérielle sera atteinte, mais bien des petits plaisirs supprimés, (…)
DÉFI À VÉNUS Elle avait faim - une faim dont elle prit soudain conscience avec un élan impatient - et la pensée, pour la première fois, l’enchanta que le vieil homme, bien qu’il mangeât peu désormais, gardait, en souvenir de sa jeunesse, une (…)
LA MANDARINE Alors que son mari et mémé Boul sa grand-mère dorment déjà, Séverine, qui a faim comme à son habitude, prépare pour elle et ses frère et soeur Laurent et Baba une omelette. Arrive Toni, ami de Baba, encore inconnu du reste de la (…)
LES SEMAILLES ET LES MOISSONS - IV TENDRE ET VIOLENTE ELIZABETH Dans un hôtel de montagne, tenu par Pierre et Gloria. Le frère de Gloria, permissionnaire, s’est annoncé pour le dîner. Pour le dîner, Gloria avait commandé au chef un menu (…)