Œuvre d’Eric Glâtre de 2001
(actualisation UMC)
Séduit par le projet « Au nom de la terre » de la Maison, le célèbre acteur américain, Leonardio Di Caprio, investit dans Champagne Telmont.
Agrandissements successifs des installations de la maison J. de Telmont : édification d’un premier cellier de 1.600 m2, destiné à abriter pour partie une cuverie supplémentaire, pour partie un chantier de remuage par "Gyros" (1982) ; construction d’un second cellier de 1.400 m2, dans lequel a été implantée une chaîne de dégorgement automatique, prolongée par un groupe d’étiquettage et d’emballage (1987-1988) ; extension et aménagement de nouveaux bureaux, et d’un salon de réception et de dégustation, spacieux et confortable, destiné à l’accueil de la clientèle (1989) ; mise en place d’une chaîne de mise en cartons automatisée (1994) ; agencement d’une cuverie ultra-moderne en inox thermorégulé de 10.000 hl, portant ainsi la capacité totale de stockage de la maison à 17.000 hl (1996) et remaniement de l’accueil de la vendange (1997).
Construction, sur un terrain de près de 2 ha en limite de Damery et en bordure de la Route Touristique du Champagne, d’un ensemble de locaux fonctionnels destinés à accueillir la totalité des activités de la maison J. De Telmont : caves profondes, celliers, cuveries, vendangeoir, bureaux, cours, voies d’accès, espaces verts, etc.
Henri Lhopital décide de se lancer dans la manipulation et de commercialiser sa propre production, jetant ainsi les bases de la future maison de négoce en vins de Champagne J. de Telmont créée en 1954.
Subissant les effets contraires de la situation économique défavorable de l’Entre-Deux-Guerres, du stock à constituer, de la clientèle à créer et à convaincre par la qualité et le prix, les premiers tirages et les ventes de champagne sont extrêmement modestes, variant au hasard des récoltes et jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, de 2.000 à 5.000 bouteilles par an - la marque utilisée étant naturellement le nom patronymique de la famille.