Musique de E. Spence
ÇA M’ÉMOUSTILLE
J’ador’ souper en tête-à-tête
Soit chez Brébant, soit chez Bignon.
Car je possède un coup de fourchette
A m’décerner le Prix Monthyon.
Au dessert quand vient le champagne,
Pour le coup, j’suis au paradis,
Ma tête alors bat la campagne,
Car ce vin là, mes p’tits amis...
Ça ’n’émoustille ! Et je pétille ! Oui, je pétille ! Nom d’un pompon ! Ça M’émoustille ! Et je pétille ! Comme un flacon D’Moët et Chandon !
s.d.
(Fin XIXe ou début XX)