L’ABBÉ CONSTANTIN
L’abbé Constantin dîna [...] de grand appétit et ne recula pas devant deux ou trois verres de vin de Champagne. [...] La perfection n’est pas de ce monde, et si la gourmandise était, comme on le dit, un péché capital, que de bons curés iraient en enfer.
1882
CRIQUETTE
Savéline n’était plus un jeune homme ; il avait quarante-huit ans, il buvait beaucoup de vin de Champagne ; il épaississait, s’alourdissait. En juillet 1861, il reçut un léger avertissement, une petite, toute petite congestion. Il n’en tint pas compte et continua de trop aimer le vin de Champagne. Rosita exigea alors impérieusement un mariage plus solide avec un pope plus sérieux. Elle l’obtint. Savéline mourait six mois après. Rosita héritait d’un million de roubles.
1883