VIVONS HEUREUX EN ATTENDANT LA MORT
J’ai rêvé de Bernadette Lafont. [...]
Rien au monde ne pourra jamais libérer un esprit prisonnier de vos charmes inouïs, madame : vos yeux étranges et malicieux, où je m’enfonce comme dans un Bain de champagne incroyablement pétillant.
1983