LA MAISON BELHOMME
En 1794. La pension Belhomme accueille les aristocrates ci, rupture de prison révolutionnaire.
Qui aurait vu le chevalier François d’Elven penché sur son secrétaire l’aurait trouvé studieux. [...] Ce soir-là [...], le champagne n’arrivait pas à le calmer. [...] Il reposa sa plume, lanterna avant de porter son verre à ses lèvres qu’il mordillait. Il cracha instantanément. La giclée d’encre macula la marqueterie. Le chevalier avait interverti son encrier et le cristal.
1984