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Hôtel particulier du Marc

Edifié par Edouard, Werlé, successeur de Madame Clicquot et maire de Reims, l’hôtel du Marc est un témoignage exemplaire de l’architecture du XIXe siècle à Reims.

Un héritage
Le témoignage exemplaire d’une architecture du XIXe siècle à Reims
L’Hôtel particulier du Marc, entre cour et jardin, est un exemple exceptionnel d’architecture du XIXe siècle à Reims. Construit en 1840 pour Édouard Werlé (1801-1884), successeur de Madame Clicquot et maire de Reims, il témoigne de l’influence du néoclassicisme du siècle précèdent.

Grandeur et sobriété
Les dimensions, la couleur légèrement ocrée de la pierre des façades dégagent à la fois grandeur et simplicité. Cette impression d’imposante sobriété a été voulue par Édouard Werlé qui aimait le confort, à condition qu’il ne soit pas ostentatoire. L’édifice est entouré d’un par, ancien verger, vaste ensemble de verdure exceptionnel en centre ville. Cette enceinte comprend aussi le Pavillon de Muire, classé Monument Historique, rare édifice de l’époque de la Renaissance ayant survécu à la Première Guerre mondiale.

L’art de vivre à la française…

L’Hôtel particulier du Marc est aujourd’hui le cadre privé dans lequel la Maison Veuve Clicquot Ponsardin accueille ses invités privilégiés venus du monde entier pour déguster ses vins, découvrir la Champagne et l’Art de Vivre à la française.

L’esprit d’une restauration
Les marques du temps et de l’histoire.

Au cours de la Première Guerre mondiale terriblement bombardée, la ville de Reims a été dévastée. Bien qu’endommagé par de nombreux éclats d’obus, l’Hôtel du Marc échappe à la destruction et aux incendies qui anéantissent l’ensemble du quartier et notamment le siège social de la Maison.

Une préservation intelligente et respectueuse de l’histoire du site

L’usure naturelle de la pierre s’est ajoutée aux stigmates de la Grande Guerre. Ces dégradations pouvant à terme provoquer des dégâts plus importants, voire irrémédiables, il était nécessaire d’intervenir. La restauration des façades, en concertation avec l’architecte en chef des Monuments Historiques, commencée en décembre 2007, s’est achevée au printemps 2009.

La valorisation d’un patrimoine exceptionnel
Les peintres deviennent alpinistes pour appliquer sur les huisseries un blanc cassé, couleur recommandée par l’Architecte des Bâtiments de France.

Les ferronniers d’art
Se sont inspirés de motifs anciens pour forger les fines arabesques des garde-corps.

Portfolio