Sportman a l’audace tranquille, il s’affirme bien vite comme l’un des champions des vols en ballons dirigeables appelés à l’époque « plus légers que l’air » par opposition avec les 1ers avions appelés « aéroplanes » ou « plus lourds que l’air ». Pour la conquête de l’air, chacune de ces deux écoles avait ses adeptes et détracteurs : l’Allemagne étant inconditionnelle des « plus légers que l’air » avec leurs formidables ballons dirigeables Zeppelin, les Français restant hésitant entre les deux formules jusqu’au 1er meeting d’avions de Monde de 1909 en Champagne qui montre les avantages des avions sur les ballons lourds, lents et surtout très vulnérables.
- Pilote de monoplan Blériot n° 23 et 24 au 1er meeting d’avion du Monde de 1909
- Pilote du monoplan Blériot n° 36 à la 2ème semaine aéronautique de Champagne 1910
- Recordman du Monde des 100 kms à la 2ème Semaine d’aviation en Champagne de 1910