Œuvre du Colonel François Bonal de 1990 (actualisations UMC)
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LA HAINE DE LA POÉSIE Je n’étais pas sorti depuis des mois. J’allais à Tabarin comme à une fête, brillante de lèvres et de sexes faciles. [...] J’étais ivre au moment d’entrer. [...] Je dus commander pour moi seul une bouteille de champagne. En (…)