Œuvre d’Eric Glâtre de 2001
(actualisation UMC)
Bernard de Nonancourt succède à Marie-Louise de Nonancourt sa mère et à Henry Gondry directeur général, à la tête de la maison Veuve Laurent-Perrier.
Dès lors, commence la plus étonnante réussite de l’histoire du champagne, réussite liée à la qualité des hommes, à la rapidité de leurs interventions, à leur attachement aux valeurs de terroir et de tradition : partie de 80.000 bouteilles en 1949, la maison Veuve Laurent-Perrier vend plus de 1 million de bouteilles en 1967 et atteint les 6,8 millions en 1999.
Bernard de Nonancourt succède à Marie-Louise de Nonancourt sa mère et à Henry Gondry directeur général, à la tête de la maison Veuve Laurent-Perrier.
Dès lors, commence la plus étonnante réussite de l’histoire du champagne, réussite liée à la qualité des hommes, à la rapidité de leurs interventions, à leur attachement aux valeurs de terroir et de tradition : partie de 80.000 bouteilles en 1949, la maison Veuve Laurent-Perrier vend plus de 1 million de bouteilles en 1967 et atteint les 6,8 millions en 1999.
Venu passer en revue ses troupes basées à Courcy près de Reims, S.M. le Roi Georges VI d’Angleterre s’arrête à la maison Veuve Laurent-Perrier, avant de repartir le lendemain visiter la ligne Maginot.
Reprise de la maison Veuve Laurent-Perrierpar Marie-Louise de Nonancourt, sœur de Victor et Henri Lanson, une jeune veuve, mère de quatre enfants. Le sauvetage de l’affaire alors au bord de la faillite est confié à Henry Gondry, ami fidèle et fondé de pouvoir de la maison Lanson Père et Fils.
Sous la direction d’Eugénie-Hortense Laurent et de son mari Henri Couvreur, la maison Veuve Laurent-Perrier décline inexorablement jusqu’à cesser toute activité.
Mathilde-Emilie Laurent-Perrier succède à Eugène Laurent son époux, à la tête de la maison devenue Veuve Laurent-Perrier, et poursuit le développement de l’entreprise, avec pour associés Paul Couvreur et Paul Lebègue (en 1887), Henri Couvreur et Henri Cruchet (en 1905), sir Alexander Fletcher Keith Mackenzie (en 1920)
André-Michel Pierlot, ancien tonnelier et entrepreneur de tirages, quitte Chigny, pour venir s’installer à Tours-sur-Marne et champagniser dans les murs d’une ancienne abbaye cistercienne édifiée au cours de la seconde moitié du XIème siècle.
C’est sous le n° 10497 qu’est déposée ce jour-là au greffe du Tribunal de Commerce de Reims une marque, appelée à devenir en 1887 la maison Veuve Laurent-Perrier.