CHEZ Maxim’s1
Jusqu’aux environs de 1930, Maxim’s était un endroit où les femmes étaient vues mais jamais les dames. [...] On disait tant de choses sur Maxim’s : que le champagne y coulait comme l’eau du robinet, que l’on y jetait for à poignées.
Louis Vaudable a sélectionné un "champagne Maxim’s" qui, pour le millésime de 1952, eut un troisième prix derrière Moët et Bollinger dans une dégustation à (aveugle.
Voici un commentaire de Maggie Vaudable [...] : « Mon mari et moi nous avons abandonné les cocktails d’avant le dîner. Nous préférons servir du whisky et, naturellement, du champagne, générateur d’une ambiance joyeuse. »
1962
Traduit de l’anglais.
1. Titre original de cet ouvrage collectif paru en anglais et sans version française.