A Aymon de Virieu
Correspondance
Avril 1810
Pour consoler un vieux philosophe qui s’était laissé aller à s’emporter à la suite du bris d’un flacon de cristal,
A calmer ses regrets tandis qu’on s’empressait,
D’un champagne mousseux son voisin l’abreuvait. D’un vermillon plus vif son teint frais se colore II chante, il boit, il cause et puis il boit encore.