L’ART CULINAIRE
Carême, en verve, était étincelant et léger. Il ne buvait au plus qu’un peu de champagne. [...]
Le menu que j’analyse donne la préférence, en fait de vins blancs, au sillery vineux sec, à l’aï crémant, etc. Lorsque l’amateur est modeste, trèssage, il se contente d’une bouteille de Haut-Brion et de Léoville, ou de Latour, de Lafitte de 1827 ou 1834, dont la finesse exquise dépasse celle de la comète.
1855