Ludwig van Beethoven voit le champagne comme un remède.
A ses maladies de fin de sa vie :
"Comment pourrai-je assez vous remercier pour ce champagne excellent ; comme il m’a restauré et comme il va me restaurer encore !" écrit-il au baron Johan Pasqualatidans ce qui sera une de ses dernières lettres, datée de mars 1827 (extrait du livre Les Lettres de Beethoven, Actes Sud, 2010).